Str78
Code name (Unique Key)
Str78
Name of the space
Colonnade with timber columns and piers
Location code
General description of the space
BCH 49 (1925), p. 470-473
Chapouthier, Charbonneaux, 1928, p. 36:
Le portique est n’a été dégagé encore que sur une trop faible portion pour être étudié dans son ensemble (pl. XXIII,1). On peut dire pourtant qu’il était surélevé de 15 cm. au-dessus du niveau de la cour, formant une galerie profonde de 3 m. Le stylobate était formé d’une assise en blocs d’ammouda, large de 0m.80 ; l’intérieur au contraire était occupé par une cailloutis irrégulier de pavés de sidéropétra. De la colonnade qui régnait sur l’assise d’ammouda, nous n’avons dégagé que deux éléments : au nord, un gros pilier quadrangulaire debout sur une hauteur de 0m.85, au sud, la base d’une colonne ronde qui s’insérait dans l’assise. Il est permis de supposer que cette alternance : pilier carré, colonne ronde, se répétait sur toute la longueur du portique et contribuait à la belle harmonie de l’ensemble. Entre les deux éléments, trois trous circulaires, alignés à intervalles égaux, recevaient probablement les pieux de bois qui formaient une barrière intermédiaire. P. 36, PL. XXIII,1
Le portique est n’a été dégagé encore que sur une trop faible portion pour être étudié dans son ensemble (pl. XXIII,1). On peut dire pourtant qu’il était surélevé de 15 cm. au-dessus du niveau de la cour, formant une galerie profonde de 3 m. Le stylobate était formé d’une assise en blocs d’ammouda, large de 0m.80 ; l’intérieur au contraire était occupé par une cailloutis irrégulier de pavés de sidéropétra. De la colonnade qui régnait sur l’assise d’ammouda, nous n’avons dégagé que deux éléments : au nord, un gros pilier quadrangulaire debout sur une hauteur de 0m.85, au sud, la base d’une colonne ronde qui s’insérait dans l’assise. Il est permis de supposer que cette alternance : pilier carré, colonne ronde, se répétait sur toute la longueur du portique et contribuait à la belle harmonie de l’ensemble. Entre les deux éléments, trois trous circulaires, alignés à intervalles égaux, recevaient probablement les pieux de bois qui formaient une barrière intermédiaire. P. 36, PL. XXIII,1
Charbonneaux, 1928, p. 362-363:
Au sujet de la barrière qui fermait le portique est : à l’est, le dispositif a été perfectionné : trois colonnettes, entre une colonne et un pilier, étaient fixées au stylobate par des goujons, rondes ou carrées larges de 0 m. 07 et profondes d’autant, creusées au centre d’empreintes rondes encore visibles sur la surface de la pierre, et dont le diamètre (environ 0 m. 22) est évidemment celui de la colonnette à sa base. P. 362-363
Au sujet des architraves qui couvraient ce portique est, il n’exclut pas qu’elles étaient en pierre et non en bois, car l’entre-axe est selon lui suffisamment court (2 m. 50) et que de nombreux blocs de grès furent découverts le long du stylobate. Mais il ne fournit pas les dimensions de ces blocs. P. 363
Au sujet de la barrière qui fermait le portique est : à l’est, le dispositif a été perfectionné : trois colonnettes, entre une colonne et un pilier, étaient fixées au stylobate par des goujons, rondes ou carrées larges de 0 m. 07 et profondes d’autant, creusées au centre d’empreintes rondes encore visibles sur la surface de la pierre, et dont le diamètre (environ 0 m. 22) est évidemment celui de la colonnette à sa base. P. 362-363
Au sujet des architraves qui couvraient ce portique est, il n’exclut pas qu’elles étaient en pierre et non en bois, car l’entre-axe est selon lui suffisamment court (2 m. 50) et que de nombreux blocs de grès furent découverts le long du stylobate. Mais il ne fournit pas les dimensions de ces blocs. P. 363
Chapouthier, Joly, 1936, p. 6 & 7:
Portique long de 34 m, avec six piliers carrés alternant avec six colonnes rondes. Ces soutiens reposent sur un stylobate haut de 15 cm par rapport au niveau de la cour centrale (mais ne précisent pas lequel). Au Sud le stylobate cesse contre le dernier pilier, tandis qu’au Nord il devient toichobate [Note MD : Le mur en grès taillé à l’ouest de X 3]. P. 6.
Dans les entrecolonnements, trois trous régulièrement répétés contribuaient sans doute à la clôture ; des têtes de pieux encastrées auraient formé l’armature d’une palissade ; cette barrière prenait appui contre la tranche verticale des piliers : une rainure, le long du pilier méridional, assurait la verticalité (cf. figure 2). Comme aux deux ouvertures extrêmes du promenoir, on ne relève aucune des cavités habituelles aux entre-colonnements, et que, par contre, on observe, au flanc des piliers extrêmes, les butoirs propres à arrêter le battant d’une porte, qu’au Nord même, ce butoir est accompagné de la mortaise quadrangulaire où s’engageait soit une crapaudine, soit une targette, il faut conclure que l’on accédait au portique par ses deux extrémités. Les piliers quadrangulaires (de 0 m. 75 environ de côté) reposaient sur une dalle légèrement exhaussée ; au contraire, les bases de calcaire qui supportaient les colonnes (0 m. 60 +/- de diamètre) s’inséraient assez profondément dans le stylobate. P. 6 et 7, Figure 2
Portique long de 34 m, avec six piliers carrés alternant avec six colonnes rondes. Ces soutiens reposent sur un stylobate haut de 15 cm par rapport au niveau de la cour centrale (mais ne précisent pas lequel). Au Sud le stylobate cesse contre le dernier pilier, tandis qu’au Nord il devient toichobate [Note MD : Le mur en grès taillé à l’ouest de X 3]. P. 6.
Dans les entrecolonnements, trois trous régulièrement répétés contribuaient sans doute à la clôture ; des têtes de pieux encastrées auraient formé l’armature d’une palissade ; cette barrière prenait appui contre la tranche verticale des piliers : une rainure, le long du pilier méridional, assurait la verticalité (cf. figure 2). Comme aux deux ouvertures extrêmes du promenoir, on ne relève aucune des cavités habituelles aux entre-colonnements, et que, par contre, on observe, au flanc des piliers extrêmes, les butoirs propres à arrêter le battant d’une porte, qu’au Nord même, ce butoir est accompagné de la mortaise quadrangulaire où s’engageait soit une crapaudine, soit une targette, il faut conclure que l’on accédait au portique par ses deux extrémités. Les piliers quadrangulaires (de 0 m. 75 environ de côté) reposaient sur une dalle légèrement exhaussée ; au contraire, les bases de calcaire qui supportaient les colonnes (0 m. 60 +/- de diamètre) s’inséraient assez profondément dans le stylobate. P. 6 et 7, Figure 2
Pelon 1980, p. 150-154:
Description du portique
Description du portique
Bibliography
Space
Position in the space
Eastern Portico of the Central Court
Description of the connection of the structural unit with other structural units
Current state of preservation
Medium
Base of timber column
Without mortise
Type of timber pier
Timber pier (low block) with mortises on the ashlar base
Method of documentation
Bibliographical
Linked resources
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en grès pour pilier composite. Surface supé...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en calcaire blanc marmoréen insérée dans le...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en grès pour pilier composite. Pas de morta...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en calcaire blanc marmoréen insérée dans le...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en grès pour pilier composite. Pas de morta...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en calcaire blanc marmoréen insérée dans le...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en grès pour pilier composite. Pas de morta...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en calcaire blanc marmoréen insérée dans le...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en grès pour pilier composite. Pas de morta...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en calcaire blanc marmoréen insérée dans le...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en grès pour pilier composite. Pas de morta...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en calcaire blanc marmoréen insérée dans le...
-
Devolder (fieldwork 2022): Base en grès pour pilier composite. Pas de morta...
-